Carte blanche à Cécile

Publié le par Hervé

J’ai rencontré Hervé il y a 4 ans de cela, j’étais à l’époque ce que l’on peut appeler une célibattante, 14 heures par jour à se crever au boulot pour le lancement d’une start-up, à satisfaire ( mais pas dans le sens que vous croyez..) des patrons plus jeunes que moi, à courir à droite à gauche dans des soirées branchouilles en tant que bonne parigote et à m’envoyer en l’air royalement avec qui le désirait juste pour satisfaire mon besoin de séduction et ces hommes qui me péchaient ou que je péchais je les trouvais sur internet, ah la magie du net ! !
C’est ainsi que je fis sa connaissance et ce fut une révélation, une vraie.
J’ai tout d’abord été conquise par ses mots  et il le sait, cette façon de décrire cette impatience, cette peur, cet espoir que nous soyons peut être âme sœurs, que de poésie, de passion et d’enchantement : j’étais fébrile à chaque fois que je recevais un de ses courriers, un de ses mots, je l’attendais secrètement depuis tellement d’années et puis vint enfin la rencontre physique : il était à la hauteur de sa prose, oh ça oui. Je fut de suite touchée par sa douceur, son regard , son respect et par cet appétit charnel qu’il avait et dont il n’avait peut être pas conscience. Je  lui ai fait découvrir les joies du sexe et lui, m’as permis que je me découvre tout simplement : je ne me croyais pas capable d’aimer à ce point un homme aussi bien intellectuellement que physiquement. Il sait, combien j’ai vécu des choses douloureuses et combien j’étais torturée et il a été ma bouffée d’oxygène dans cet prison d’angoisse que je vivais. Mais à trop vouloir en profiter, je l’ai asphyxié et la suite il la connaît .
Tout cela pour te dire Hervé et pour vous dire, chers lecteurs que tu es un homme profondément bon ,qui vaut bien plus que la plupart des mâles sur cette planète (sauf mon tit mari, bien entendu), d’une gentillesse à faire peur parfois ( et oui, on aime bien que les hommes nous fassent du mal parfois), toujours à l’écoute des autres, toujours voulant faire plaisir, qui cogite beaucoup ( hein, ça travaille dur la haut, hervé). Et pour finir mon mélo en beauté (  ), merci à toi d’être resté mon ami après ce que nous avons vécu , merci à toi d’être l’homme que tu es !

 

 

Que voulez vous que je réponde à çà!!! Whaouh... Ca fait déjà quatre ans que je connais Cécile. Nous étions éloignés par les kilometres: Elle à Paris, moi à Rennes en recherche d'emploi. Et tous les soirs.. Direction internet pour des parties enflammées de counter-strike. Mais on s'en lasse vite. Alors on chatte. Elle fut là, pour m'écouter, pour me parler. j'étais comme elle: J'attendais ces mots avec impatience.. Et le contact physique vint tres vite. Fébrile je l'étais. Mais ce fut une révélation... je me souviens d'ailleurs d'un réveil (no comment). Je me souviens de la tête de mes parents quand ils m'ont vu revenir (chut). Période agréable séparés par 300 kms. Mais son dynamisme, son apétit de vivre, me donnait envie.. Ce n'était pas une pile, c'était (c'est?)un ouragan. mais sans elle, j'aurais encore du mal aujourd'hui. Seulement, mettez deux balances ensembles ca fait des etincelles... Moi qui cogite encore, et elle, dans une mauvaise période (et j'en garde de tres bons souvenirs). Nous nous sommes séparés, mais pas en mauvais termes.. La vie ne nous a pas tellement éloignés, puisqu'on est encore en contact. Merci Cécile d'avoir été là pour "the first, the one, the everything", d'avoir gardé contact, et d'être toujours là (j'en connais qui pourraient prendre exemple)

Publié dans carte blanche

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C
et qui donc pourrait prendre exemple??? t'adresses-tu à quelqu'un en particulier hihihi?
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